Heaven’s Postman, sorti en 2009, est un joli conte (de fées ? ^^!) comme on en fait peu mais dont je raffole !! Réalisé par Lee Hyeong Min et tiré d’un roman japonais, ce petit film est ce que j’appelle un petit « bijou » parce que mélange entre romance, drame et fantaisie mais sans tomber dans le déjà vu, le niais ou le trop « facile ».
Réalisé par Lee Jae Han, 71 Into the Fire (포화 속으로 Po-hwa Sok-eu-ro) est un film de guerre qui relate l’histoire vraie de 71 étudiants sud coréens qui le 25 juin 1950, lors de la guerre menée contre le nord, vont être abandonnés à leur sort au sein d’une école (dernier « bastion de l’armée) et n’auront d’autre choix que de devoir combattre l’armée nord coréenne pour rester en vie.
Bon après avoir lu que I saw the devil sortirait en avril 2011 dans notre merveilleuse contrée, je me disais que 4 mois à attendre c’était jouable mais quand pas plus tard que la semaine dernière j’ai su que la sortie était juillet 2011 alors là j’ai dit NON c’est pas possible !!! FRANCHEMENT !!
Attendre 1 an une sortie telle n’a aucun sens surtout quand on s’apelle Kim Jee Woon….donc j’ai fait ce que –en tant que fan absolue- je me devais de faire : je l’ai finalement visionné…..
No Mercy, de Kim Hyeong-Jun, est un petit polar/thriller sans grande prétention mais qui fait son petit effet grâce à la suspicion qui nous habite dès le début de l’histoire et le climat de tension qui se créé dès la 1ère demi-heure lorsque le tueur sanguinaire avoue son crime et fait passer le récit et le héros dans une nouvelle dimension bien au-delà de nos propres espérances et ce jusqu’à un final qui fait froid dans le dos.
Si le coeur vous en dit, je vous propose un petit tour d’horizon made in corée où Eros, symbole antique ou thème sulfureux depuis toujours, sert de trame de fond pour le film « omnibus » Ogamdo (The Five Senses of Eros).
Suivant les visions ou plutôt les inspirations des réalisateurs réunis sur le projet, 5 histoires -plus ou moins liées – nous sont contées.
Vous aimez les atmosphères feutrées, élégantes, un esthétisme poussé à son extrême, une intrigue magnifiée par un espace temps étiré, une musique qui vous envoûte tout autant que le charisme des acteurs ?
Vous aimez être emporté dans un univers inconnu, impossible, où les ficelles sont subtiles et plus dispersées que d’habitude, où le vrai, le faux, le présent, le passé n’ont plus de limites ?
Si une fois n’est pas coutume, vous avez envie de vous plonger dans une histoire simple, sans chichis, sans envolées lyriques mais empreinte de douceur, de poésie et d’amour diffus alors je vous conseille Season of Good Rain, de Heo Jin-ho (sorti en 2009).
Entre rêve et réalité
Sorti en 2004 en Corée, 3 Iron (Binjip/Locataires) est un film hors du commun, un film dont je raffole : celui qui une fois le générique de fin passé vous laisse sur vos propres réflexions, vos questionnements voire parfois vos conclusions. Ce n’est pas un film qui vous apporte des réponses ou attend un jugement sur le vif mais c’est un film qui vous renvoie à votre être et votre nature.
In the mood for Lady Lae 